Burkina Faso/Terrorisme : De la nécessité de coupler la lutte aux actions du développement (Président Ibrahim TRAORE)

Le président du Faso, le capitaine Ibrahim TRAORE et ses collaborateurs se sont engagés sur plusieurs fronts notamment dans la lutte contre le terrorisme et pour le développement socioéconomique du Burkina Faso. Un engagement qu’ils respectent et assument avec détermination et abnégation, mettant en avant l’intérêt suprême de la Nation et les aspirations profondes de leurs concitoyens.

Il s’agit d’une stratégie entrant dans le cadre de la lutte efficace contre les malfaiteurs selon le chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE. Il répondait samedi 05 Octobre à la question d’un auditeur de la Radio nationale burkinabè, voulait avoir les raisons pour lesquelles les autorités ne se concentrent pas uniquement sur la lutte contre les forces du mal, pour le moment. D’après le chef de l’Etat, les deux domaines restent prioritaires et doivent aller de pair, pour une libération rapide et totale du pays.

Selon le capitaine Ibrahim TRAORE, cette stratégie permet d’occuper au maximum les jeunes, qui sont le plus souvent les victimes et facilement manipulables par les terroristes et leurs sponsors. L’expérience aurait montré que par manque de travail ou de moyens de subsistance des jeunes acceptent facilement prendre les armes contre leur pays, en rejoignant les criminels dans la brousse, ou encore se transforment en briguant.

C’est pour éviter tous ces faits nuisibles à la société, constituant des obstacles à la bonne lutte contre le terrorisme, que le président Ibrahim TRAORE et ses collaborateurs ont fait de ces deux secteurs leurs priorités. Après deux années d’efforts et de dévouement, les autorités burkinabè notent des avancées notoires sur le plan sécuritaire, tout comme celui du développement socioéconomique.

Les perspectives restent le redoublement d’efforts, le renforcement des actions concrètes en complicité avec le peuple, pour une réussite dans ces deux domaines au grand bonheur des citoyens du pays des hommes intègres.

Karim Ouédraogo